Depuis quelques années, des témoignanges spontanés de femmes me parviennent emprunt d'émotion. Les pères parfois sont présents et trés émus aussi par ces récits vécus dans leurs trippes.
Quand l'euphorie de la naissance laisse la place à la sagesse. Je dirais même plus, lorsque qu'enfin la douleur s'exprime car il n'y a plus d'otage.
Quel otage ? Ce bébé à venir, cet objet de culpabilisation, de marketing, de surmédicalisation pour tous les autres.
Sauf pour NOUS parents .
J'ai même vu un homme de 52 ans réclamer encore la douceur des bras d'une maman: les médecins avait dit à ma mère de ne pas trop me caliner...sans père mort à la guerre , cette tendresse ferait de moi un homosexuel. Aujourd'hui je suis célibataire, pas homo mais affreusement seul !
"Lorsque la sage femme m'a mis MON fils au sein je ne me suis sentie qu'une merde. Elle m'a convaincue que j'étais fatiguée, trop faible pour assumer un bébé, il l'ont mis à la nurserie j'ai pleuré toute la nuit!" Nadia coiffeuse (48ans âge lors du témoignange, bébé a 23 ans). Elle pleure encore en me le racontant.
"J'ai voulu accoucher chez moi, ce qui me semblait allez de soi. La gynéco m'a dit que j'étais irresponsable et que le père pourrait porter plainte contre moi pour mise en danger de la vie d'autrui. J'ai vite compris que c'était l'inverse, c'est l'hopital le danger. J'ai tenu bon, j'avais 21 ans. J'ai accouché seule chez moi avec le papa pour me soutenir. Quel merveilleux moment ! Si vous voulez des témoignages pour faire bouger les choses je serai là" Claudia 54 aujourd'hui.
Voilà une infime partie des messages reçus qui me font démarrer ce blog . La fin surtout qui souvent reprend la phrase de Claudia : témoigner pour partager, pour faire bouger les choses.
A vous maintenant !
Toutefois je continue à alimenter ce blog en astuces santé naturelles pour la grossesse et le bébé et le papa et le grand frère, la grande soeur....
Denise
Quand l'euphorie de la naissance laisse la place à la sagesse. Je dirais même plus, lorsque qu'enfin la douleur s'exprime car il n'y a plus d'otage.
Quel otage ? Ce bébé à venir, cet objet de culpabilisation, de marketing, de surmédicalisation pour tous les autres.
Sauf pour NOUS parents .
J'ai même vu un homme de 52 ans réclamer encore la douceur des bras d'une maman: les médecins avait dit à ma mère de ne pas trop me caliner...sans père mort à la guerre , cette tendresse ferait de moi un homosexuel. Aujourd'hui je suis célibataire, pas homo mais affreusement seul !
"Lorsque la sage femme m'a mis MON fils au sein je ne me suis sentie qu'une merde. Elle m'a convaincue que j'étais fatiguée, trop faible pour assumer un bébé, il l'ont mis à la nurserie j'ai pleuré toute la nuit!" Nadia coiffeuse (48ans âge lors du témoignange, bébé a 23 ans). Elle pleure encore en me le racontant.
"J'ai voulu accoucher chez moi, ce qui me semblait allez de soi. La gynéco m'a dit que j'étais irresponsable et que le père pourrait porter plainte contre moi pour mise en danger de la vie d'autrui. J'ai vite compris que c'était l'inverse, c'est l'hopital le danger. J'ai tenu bon, j'avais 21 ans. J'ai accouché seule chez moi avec le papa pour me soutenir. Quel merveilleux moment ! Si vous voulez des témoignages pour faire bouger les choses je serai là" Claudia 54 aujourd'hui.
Voilà une infime partie des messages reçus qui me font démarrer ce blog . La fin surtout qui souvent reprend la phrase de Claudia : témoigner pour partager, pour faire bouger les choses.
A vous maintenant !
Toutefois je continue à alimenter ce blog en astuces santé naturelles pour la grossesse et le bébé et le papa et le grand frère, la grande soeur....
Denise