Ce jour une femme a perdu son bébé enceinte de 8 mois.
Ayant choisi d'accoucher à domicile, elle n'a pas de dossier médico-gynéco à l'hôpital.
Et pourtant elle s'y présente il y a trois jours pour désydratation, impossibilité de s'alimenter et de la fièvre. Elle est inquiète. Les urgences la renvoient sous prétexte qu'elle n'est pas suivie ici.
Suivi ICI pour une gastro ou autre ?
La prise en charge a tout de suite changé lorsqu'à la question : qui suit votre grossesse ?
Elle a répondu: la sage femme libérale qui assurera l'accouchement à domicile .
Elle est repartie avec pour consigne de voir un gynéco de l'hopital. Rendez vous pris deux jours après.
Pas d'examen classique pour la prise en charge des symptômes annoncés, sans rappport avec la grossesse.
Epuisée chez elle, avec deux enfants en bas âge et son mari qui travail au loin cette semaine (pas de chance!).
Elle tombe dans les pommes, reste des heures ainsi, avant que la voisine alertée par les pleurs des enfants, n'intervienne.
Trop tard, la manan survit , le bébé non.
De quel droit peut on traiter une femme ainsi ?
Sans grossesse quel prise en charge aurait elle eu ?
Et le journaliste au téléphone qui me demande alors que je reçois la nouvelle:
Comment paut on associer la maternnité et les violences faites femmes?
GROS SOUPIR
Ayant choisi d'accoucher à domicile, elle n'a pas de dossier médico-gynéco à l'hôpital.
Et pourtant elle s'y présente il y a trois jours pour désydratation, impossibilité de s'alimenter et de la fièvre. Elle est inquiète. Les urgences la renvoient sous prétexte qu'elle n'est pas suivie ici.
Suivi ICI pour une gastro ou autre ?
La prise en charge a tout de suite changé lorsqu'à la question : qui suit votre grossesse ?
Elle a répondu: la sage femme libérale qui assurera l'accouchement à domicile .
Elle est repartie avec pour consigne de voir un gynéco de l'hopital. Rendez vous pris deux jours après.
Pas d'examen classique pour la prise en charge des symptômes annoncés, sans rappport avec la grossesse.
Epuisée chez elle, avec deux enfants en bas âge et son mari qui travail au loin cette semaine (pas de chance!).
Elle tombe dans les pommes, reste des heures ainsi, avant que la voisine alertée par les pleurs des enfants, n'intervienne.
Trop tard, la manan survit , le bébé non.
De quel droit peut on traiter une femme ainsi ?
Sans grossesse quel prise en charge aurait elle eu ?
Et le journaliste au téléphone qui me demande alors que je reçois la nouvelle:
Comment paut on associer la maternnité et les violences faites femmes?
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